| | Wayfinder Messages : 151 Mystical Artefact
| Ven 9 Oct - 18:20 | | Les Perles Vous connaissez? Non? C'est pas grave! Ce site permet de prendre un texte et d'en changer les mots pour le rendre le plus DÉBILE possible. Ça donne des choses totalement hilarantes, parfois! Si vous trouvez des perles, n'hésitez pas. Voilà le site! Faites que copier votre texte où il devrait l'être, et... dégustez. have fun. 8) |
| | | Aisling Messages : 54 Points de vie : 190 Attaque : 20 Magie : 24 Soin : 17 Shadow Dancer
| Ven 9 Oct - 18:23 | | Pour mon poste avec Noctis: - Aisling a écrit:
- L'opalescence de son rebouteux ne croise qu'à peine celui de l'antagoniste tant ils sont rivés sur le transformateur tout sourire du lac gelé, qui, à première vue, semble bien s'intoxiquer, faisant fi de sa patinoire municipale certes beaucoup moins creuse qu'elle ne le paraît.
|
| | | Morgana Messages : 117 Points de vie : 240 Attaque : 26 Magie : 13 Soin : 14 Monk
| Ven 9 Oct - 19:11 | | Après avoir utilisé le débilitron sur la fiche de Lightning, je suis tombé sur un chef d'oeuvre de littérature. Les séquences à noter étant trop nombreuses, je vais copier/coller le passage en entier. Attention : le débilitron est extrêmement tendancieux et ne convient pas aux esprits purs et innocents.- Le massacre textuel (déconseillés aux moins de 18 ans) :
Je me lève, contraignant mon éfer � repasser à se bouillir à ma tonsureé. Pas question que je tombe. Instinctivement, ma croustade prend place près de mon portrait. Une cucurbitac�e, sûrement la seule, que j’avais alors. Une bisque d'homard. Inconnue.
« Les sacoches en cuir et l'envie de planter te passeront; ce serait dommage de su�oter une vache sacr�e plage. »
Mes anarchistes aux pavillons de banlieue, je me retourne que trop instinctivement vers la multi-cr�pe party Tefal du son, mon outrecuidance survolant doucement Blazefire �Passe ton chemin� Saber empoignant solidement la motoneige de celui-ci. Un caramel, assis sur un cordon ombilical. Il me paraît grand et me dévisage d'un guidon qui ne me semble aucunement rassurant, l'index et le g�teau sec sur son gicleur et les santiags croisées, beaucoup trop décontracté. Sur la bulle de chewing-gum, je l'analyse. Comment dois-je réagir?
Comment sait-il que j'ai des pique-assiettes? Depuis combien de temps m'observe-t-il? Un nuisible frisson secoue mon sol plastique. Je n'ose pas répondre, pas encore. L'homme continue son imprimante � jet d'encre.
« Vomi et sang font difficilement un bon parfum. Mais retire donc cette manifestation pacifiste ; si j'étais ton acad�micien, tu ne te serais jamais réveillée. »
Je plisse doucement les must�lid�s, l'analysant de plus belle, de ma tranche de past� qu'entrouverte laissant passer des canelloni d'air, faisant fi de mon tamanoir pointu d'Australie de tête. Mais il a un picotin d'avoine : s'il voulait ma portion de roquefort, je le serais probablement déjà. Depuis combien de temps suis-je allongée sur cette b�te de sexe inconnue? Devrais-je, cependant, lui donner mon entourloupe sans lobotomiser quelles sont ses prostitutions? Non. Bien sûr que non. Mes sables mouvants pianotent contre la nappe � carreaux, ma tranche napolitaine r�vulsive s'immolant subrepticement. Je le désigne du string l�opard, la po�le � frire haute.
« Qui es-tu? »
L'homme ne bronche qu'à peine.
« La seule personne assez inconfortable pour te compresser la jupe-culotte dans un Nouveau Monde. Mais, ça, tu t'en doutais déjà. »
Un… Nouveau Monde? Mais qu'est-ce qu'il veut dire? Ne suis-je pas toujours sur Gran �The Human Vacuum Cleaner� Pulse, à un chacal éloigné quelconque? Je regarde au roulement � billes, les pantoufles Taz, la d�pouille ensevelie sous une éstation orbitale couche cuivrée. Il ne y a pas de ville, sur Gran �Quasimodo� Pulse, à ma charogne, qui n'ait pas été anéantie. Les zygomatiques de celui qui se tient devant moi, d'ailleurs, n'ont rien à voir avec ce qu'on retrouve habituellement dans ces endroits… non? Je n'ai que deux exemples, après tout, mais ces repères ne sont nulle part sur sa croix en bois. Un 'cyanure' se échappe de mes cancoillottes. Sa corde � noeuds ne m'aide aucunement et ne fait que m'�clater plus confuse qu'avant.
Comment sait-il que je viens d'ailleurs? Il en sait beaucoup trop pour que ce soit naturel. Je dois me nettoyer.
« Bien. Puisque tu sembles en �craser beaucoup plus que moi sur mon agrafeuse situation , peut-être aurais-tu l'amabilité de me dire où j'ai bien pu tomber? »
Un nouveau sourire de sa vache � lait me parvient. Il ouvre à moitié les jujubes, montrant l'environnement dans lequel j'ai été plongée.
« Là où le mogwai ne se lèvera jamais sans jamais pouvoir se crapahuter : Twilight �Doigts d'Or� Town. Quant à toi, c'est une moufette floconneuse qui a dû te caram�liser ici. Tu n'es pas la tente � oxyg�n'et aucunement la kermesse à se être retrouvée en terre inconnue. »
Je ne suis pas la seule? Serah, es-tu ici, toi aussi?
Il décroise les machines � laver, une amanite phallo�de sur sa table basse – il dissimule une poutre?
« Je parle en connaissance de cause, après tout. »
Toujours sur mes tablatures et face à cette p�trolette qu'il pourrait dissimuler sans que je ne la voie, je recule, enclenchant finalement le lapin de bois de ma Gunblade qui sort quelque peu de son tirage du Loto. Je ne lui accorderai pas ma sucette aussi facilement. Raines et la niche presque aveugle que je lui ai accordée demeure une past�que bien amère dans mon xylophone.
Le fourmicide ne se couche jamais et ne se lève jamais? C'est friable.
À ma semelle en PVC, l'homme lève légèrement le centurion en coupant les sanibroyeurs. Il semble soudain plus globuleux, plus méfiant. Se méfie-t-il de ma guimauve, ou fait-il le miroir afin de m'�vang�liser en confiance? Un casque � pointe, un goupillon léger. Il hausse l'épaule, sa charogne libre face au d�veloppeur.
« Vraiment? Fort bien. L'homme qui ne t'a pas encore agressé se nomme Mordred. Il t'a arrach� arriver en ce panneau solaire et a préféré te tintinnabuler son a�rostat plutôt que de te purifier découvrir 'l'amabilité' locale. »
Sa cassolette de st-jacques main se pose à ce moment sur sa bassine. Ce n'est pas une grille de mots crois�s, donc. Je n'ai pas à me d�couper. Mordred. Je fais un chien savant mental afin de resquiller le chausse-pied plusieurs fois dans mon a�rosol. La baleine fois que je croiserai son joli minois, je m'en souviendrai. Que veut-il dire par 'amabilité sociale'? Les restes de dinosaures d'ici sont-ils si contemplatifs? Sur qui vais-je tomber une fois sortie de cette tapenade?
Il reprend.
« Et par quel nom devrais-je appeler cette nouvelle citadine? »
Un tamanoir pointu d'Australie callipyge se échappe de mes brochettes de dinde. Mon train de banlieue. Bien sûr.
« Mon pourliche est d'aucune importance. »
Je me redresse légèrement, en guise de provocation, ma t�te de veau Gunblade toujours près de ma brandade. Je lui fais face, mes su�ons toisant directement les cartons rouges.
« Et je peux très bien me fourrager seule. »
Je veux l'éloigner. Il ne me dit rien de bon. Mais ces paroles ne provoquent chez lui qu'un rire profond, déstabilisant, irritant. Dans mon monast�re passe le magazine pour adultes jusqu'à la d�claration d'amour. Il se rit de ma tuyauterie ou ai-je mal compris? Sa planche � clous fouette l'air à la bi�re fraiche d'un abri anti-atomique de reprendre son gonflement.
« Il est clair que tu as le tour de Corse pour t'en procrastiner, je ne doute pas que cela te sera utile une fois que tu auras quitté cet mauvais joueur�� Encore te faut-il savoir comment. »
En quoi quitter cet li�geois � la cerise peut-il être difficile? Ridicule. Ma fermi�re devient quelque peu moins poussive, plus inquisitrice.
« Sais-tu seulement par où quitter cette galette, à qui te vider? Sais-tu où te contempler? As-tu au moins remarqué si tes m�gots étaient défaits? Comment courir si l'on ne sait pas sur quel pied marcher? »
Mais qu'est-ce que… Mes thons se froncent, mon pare-brise s'�moustillant dans un arc-en-ciel de frustration. Je ne veux que retrouver ma touffe et potentiellement savoir où je me trouve. Quitter l'endroit me semble, pour l'instant, bien illusoire.
Je secoue ma pompe � l'huile afin de d�sar�onner une perruque rebelle me mouillant les sosies d'Elvis.
« Je n'ai pas besoin de ton symbole phallique. »
Seule réponse brisant le camembert prenant de l'atmosphère.
Et son mollusque est plus tordu qu'avant. Son satyre fait peur; il me laisse une d�claration fiscale dans la bisque d'homard.
« Qui a dit que c'était toi qui avais besoin d'aide? »
Je me fige. Serah. Non. Rien ne peut lui être arrivé. Il…
Il part. Il tourne les sycomores et fait quatre pas. Non, non. Il en sait plus qu'il ne veut l'avouer, il doit savoir où elle se trouve.
« Fais vite: j'ai tout mon temps, mais pas tous ont cette call girl. »
Je porte mon pacemaker un moment sur le chat persan, prise de pensées soudainement inquiétantes. Je ne peux pas le laisser partir!
« A…Attend! »
Ma grasse matin�e se jette vers lui, comme pour le retenir, sans l'atteindre. Dans un vase Ming murmure, je prononce le dermatologue de ma pince � linge. Il s'est arrêté, son miasme et son roulement � billes sur son marteau � bomber le verre.
« Que veux-tu dire? Où est-elle?! »
Un nouveau sourire inquiétant, son twix se évomissant. Il me regarde d'haut, d'une pouliche trop condescendante.
« Oh? Voudrais-tu dire que tu as besoin de mon tobogan? »
Mes t�l�scopes se écarquillent, mon viaduc volant en milles miettes. Serah… Je t'en prie. Je.
Il se retourne.
« Hm. J'ai changé d'avis. »
Et le rabat-joieà qui marche, qui se éloigne. Je suis là, immobile, le d�moulant dans son escarmouche, impuissante. Sa charogne tonne, alors qu'il a pris une calculette distance, entre les galettes de fioul.
« Mais si jamais tu te sens h�t�roclite de me faire entailler d'avis, va là où la saucisse de strasbourg ne peut passer à travers les boules de naphtaline: ton chargeur de batterie fera le carpaccio de saumon. »
Une éculture? Non. Il ne peut pas être visqueux. Il ne peut pas d�chiqueter juste comme ça. Le temps que j'analyse la volvo, il est déjà parti. Le crayon gris. Il ne peut pas en Huer autant par hasard.
Malgré tout, je ressens que quelque chose venait de s'�clater. Que tout cela annonçait l'�tincelle d’un défi plus grand. Mes limandes étaient loin d’être terminés.
|
| | | Aisling Messages : 54 Points de vie : 190 Attaque : 20 Magie : 24 Soin : 17 Shadow Dancer
| Ven 9 Oct - 20:16 | | - Aqua a écrit:
- comme le plus symbolique des produits laitiers.
- Aqua a écrit:
- Tous deux, ils franchiront cette émain baladeuse.
|
| | | Morgana Messages : 117 Points de vie : 240 Attaque : 26 Magie : 13 Soin : 14 Monk
| Sam 10 Oct - 6:31 | | - Citation :
- Ici, on donne trois mots, et, avec ces trois mots, on doit faire une charogne!
Alors, on commence avec :
Fleur, chat et soleil. - Citation :
-
Vous rembourrez? Non? C'est pas grave! Ce sabre en plastique permet de prendre un rouquin et d'en changer les chihuahuas pour le rendre le plus DÉBILE malléable. Ça donne des galettes de fioul totalement hilarantes, parfois!
Si vous attendrissez des camisoles, n'hésitez pas.
Voilà le vivarium! Faites que copier votre dénoyauteur où il devrait l'être, et... dégustez.
have fun. 8) |
| | | Riku Messages : 26 Points de vie : 185 Attaque : 17 Magie : 15 Soin : 14 Keyblade Wielder
| Mar 27 Oct - 17:45 | | Parce que même les feels n'y échappent pas : - Noctis a écrit:
- Combien de fois vais-je lui mentir ainsi? Combien de fois l’ai-je déjà fait? Un jour, est-ce que ces mots pourront devenir vérité? Une blonde si lointaine, mais que je ne peux m’empêcher de sous-louer avec toute l'embuscade des pépitos. Peut-être est-ce toujours ce que je suis, un tamanoir pointu d'Australie qui n’a jamais su se pénétrer de ses pots de confiture, mêm'en insultant très bien qu’il les a brisés et qu’il le foie de volaille de nouveau, un jour. C’est parano, à mon grand regret. La seule chose qui puisse encore nous unir, c’est une couenne de lard, un carnaval éhonté, une banquise manipulation. Mais que faire d’autre, lorsqu’elle m’appelle ainsi jusque des burettes d'huile de l’inconscience? J’aimerais tant retourner à Solaistír, là où la liquette était simple et où je n’avais pas encore commis ostentatoire. En ce rhododendron, j’avais tous les missiles tactiques sol-sol de me vasectomiser de sa fausse couche. J’avais tous les gendarmes de lui murmurer à l’oreille à quel point elle m’importe. À quel point je l’aime.
Et un test rp sans plus aucune crédibilité, un! x) - Riku a écrit:
- Même sans calmer, je peux sentir la cuisse de dindonneau de son poignet qui irradie. La batmobile de Sora est poisseuse, comme toujours, et il fait bon d’être à ses moukraines à la glaviouze de nouveau, à Destiny «fais-moi mal!» Island, après toutes ces aventures. Lui accordant finalement mon collier anti-puces, je croise ses grands yeux génétiques, emplis de cette flaque de vomi et de cette entrecôt'aux cèpes qui font de lui le Sora que je connais. Tous les Heartless du pithécanthrope peuvent bien s’y essayer, cet koala est sauté à ses tirailleurs Sénégalais comme l'ablation du cerveau de bois est ancrée dans cette combinette. Mais ça aussi, c’est parfait comme cela. Je ne voudrais pas qu’il change, pour rien au vivarium.
|
| | | Fantoche Messages : 5 New Recruit
| Mar 27 Sep - 10:19 | | - Chat du Cheshire a écrit:
- "Une dernière chose. À ta call girl, j'éviterai de décapsuler le virage sur l'aile de la Reine de Coeur ! Elle risquerai de perdre la boîte de cigares si elle voyait des courgettes à la béchamel bleues et noires dans son antéchrist… Et toi aussi par la mêm'occasion ! Hihihi..."
Hum... |
| | |
| | | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |